Vous
Citation: L’art de la citation ne repose que sur ceux incapables de penser par eux-mêmes
Âge : 17 ans
Lieu d'habitat : Strasbourg
Statut : Lycéen
Loisirs : Natation, Mythologie et psychologie, manga
Comment avez-vous connu le forum ? Google
Un avis sur le forum : Je suis là depuis trop peu de temps pour dire « Génial ce forum ! » mais j’aime bien le design
Le personnage
Prénom: Kotaru
Nom: Akabane
Âge: 128 ans, environ 20 en apparence
Grade: Shinigami de la 4ième division
Histoire:
Malgré tous les beaux discours humanistes, l’écriture de textes faisant gonfler le torse de certains et pleurer les plus sensibles et les meilleurs acteurs, les droits de l’Homme avec un grand H comme ils les ont appelés, il subsiste dans ce bas monde certaines règles essentielles dictées par la nature auxquelles on ne peut échapper. La nature a toujours prouvé qu’elle était capable de balayer le pathos pour nous ramener à la triste réalité des choses.
La plus importante de toutes aux yeux de votre narrateur dont vous allez découvrir l’histoire : tout à prix. D’autres formules toutes faites résumant la même chose sont valables : on a rien sans rien, échange de bons procédés etc….
Ces petites expressions ont la fâcheuse manie de vous faire basculer de l’utopie à la réalité. Afin de comprendre plus en détail les raisons des mots, revenons un peu en arrière. Rukongaï, secteur désolé où vie votre serviteur, Akabane Kotaru. Nous ne nous attarderons pas sur son existence dans le monde des humains pour la simple raison qu’il ne s’en souvient plus. A l’opposé des odysséens amnésiques en quête existentielle pour connaître leur passé, terminant leur voyage initiatique par une réflexion philosophique digne d’une discussion de comptoir : l’important ça n’est pas ce qu’on était mais ce qu’on est, c’est avec un affiché je-m’en-foutisme que Kotaru réagissait quand on le questionnait sur sa vie d’avant. Après tout s’il ne s’en souvenait pas, c’est sans doute qu’il n’y avait rien d’intéressant à garder en mémoire. La pauvreté et la survie quotidienne étaient plus importantes que ces préoccupations mineures.
Son semblant de vie pris un virage quand son chemin croisa celui d’un homme qui, avec une grande originalité se faisait appelé le Docteur. Il prétendait avoir des dons exceptionnels de guérison. En réalité il ne s’agissait que d’un refoulé de la 4 ième qui pour des raisons obscures s’est fait mettre à la porte du Seireitei. Je vous arrête tout de suite, oubliez l’image du docteur dévoué qui soigne sans considération et avec dévotion les plus démunis. Ce type là était un vautour de la pire espèce qui avait des honoraires très élevés. Il regardait avec dédain sa proie malade lui rendant un peu de vie mais en lui dévorant bien plus. Les clients-victimes c’est au choix, repartaient pourtant avec le sourire d’avoir prolongé pour un temps leur vie de misère. Kotaru était fasciné par les pouvoirs du Docteur. Il passait ses journées à l’espionner pour essayer de percer le mystère de ces pouvoirs de guérison. Caché derrière en arbre, lorgnant discrètement à travers la fenêtre, aucune des séances du médecin ne se passa sans qu’elle fut observée, analysée, disséquée par l’apprenti autoproclamé. Pour rien au monde il n’aurait raté une utilisation des pouvoirs de guérison et pour être sûr que cela n’arrive jamais, il passait ses journées près de la maison du Docteur, guettant l’arrivé de malades potentiels.
Le vautour qui avait amassé au fil du temps une petite fortune aurait mieux fait de se retirer. Refusant un jour de soigner une petite fille malade qui mourut quelques jours plus tard, le Docteur se vit tabasser à mort par une centaine d’habitants furieux. Kotaru assista à la scène. C’est ce jour là qu’il décida de devenir shinigami et plus particulièrement dans la 4 ième division. Pas pour sauver les gens mais pour éviter que d’autres personnes comme le Docteur ne puissent pratiquer et que des âmes désespérées supplient avec les larmes aux yeux ces ordures de leur venir en aide. Ces gens avaient le droit de mériter mieux que ça. Leurs vies fallait-elle vraiment moins que celles des habitants du Seireitei pour qu’aucun médecin qualifié ne daigne descendre dans les bas-fonds de la Soul Society ? Lui, qui n’arrivait pas à comprendre le sourire des convalescents s’étant fait escroqués, s’est fait la promesse de revenir ici un jour. Le futur soigneur n’avait pas l’âme d’un sauveur, d’un humaniste ou d’un altruiste, il n’accorde que peu d’importance aux autres. Au fond de lui ce qu’il voulait c’était bouleverser l’ordre des choses. Tout à prix…. Pour une fois il avait de rejeter cela et de refuser le destin funeste qui s’abat sur lui et sur tous les gens qu’il rencontre. Les faibles meurent en premier, pouvoir surpasser les règles établies de la nature par sa seule force, voilà sa détermination et sa raison de vivre.
Grâce aux techniques de soins, assez rudimentaires, qu’il avait appris en observant le Docteur, Kotaru vu accepter pour rejoindre l’académie et devenir Shinigami. Quelques années d’études plus tard, le voici Shinigami de la 4 ième division. Aujourd’hui il passe ses journées s’entraîner à toutes les méthodes de guérison qui existent. A force de travail, il finit par presque toutes les connaître et mieux à les maîtriser.
Caractéristiques physiques:
C’est assez énervant à dire, mais il est facile d’identifier la division de Kotaru quand on le voit. A l’opposé des carrures imposantes de la 11 ième division, il était frêle et chétif. Heureusement qu’il avait pour lui ses 1 mètre 80 qui le mettait en dernière position des membres de la 4 ième qui sont quotidiennement agressés (le leader incontesté restant Yamada Hanatarou). Son teint extrêmement pâle fait ressortir ses cheveux bruns et ses yeux bleus. De nature frileuse à cause d’un problème de circulation sanguine, il porte toujours sur ses vêtements un manteau gris. Les mauvaises langues diront qu’il s’imagine capitaine ce qui lui a valut plusieurs ennuis.
Caractère:
Vivre pour combattre, devenir le plus fort, accéder au rang de capitaine et ainsi être en première ligne et protéger ses amis…. non, absolument pas. Kotaru se fiche éperdument des combats, de la lutte contre les Hollows et tout ce qui va avec. Il limite son rôle à la guérison, qu’il maîtrise parfaitement, ses techniques de soin sont légèrement inférieures à son capitaine ce qui fait de lui au niveau de la guérison le numéro 2 dans la 4ième division. Il s’était vu proposé pour ça un siège mais il refusa, préférant rester simple Shinigami. L’ascension sociale et martiale n’est pas une idée enviable et envisageable dans son esprit.
Plutôt du genre à venir après la bataille, il a la mauvaise habitude de soigner ses coéquipiers blessés plutôt que d’essayer de leur éviter les blessures. Résultat : personne ne veut aller avec lui sur un champ de bataille. Il a donc fini par être secouriste mais au QG de la 4 ième, où les blessés lui sont directement transportés.
Assez cynique, il voit le monde avec une certaine amertume, dit ce qu’il pense même si c’est souvent politiquement incorrect. Vous feriez bien de vous méfier quand vous passez entre ses mains. Si vous allez mourir, il n’hésitera pas à vous l’annoncer sans tact ni protocole.
Shikai: Lorsque Kotaru libère son Shikai, son zanpakuto prend la forme d’un Tantô. Ca n’est pas très impressionnant mais de toute façon il ne s’en sert pas pour se battre. Il lui permet de se tailler les veines pour faire couler son sang. Le pouvoir de son Shikai est de donner un pouvoir de guérison à son sang. Le liquide lorsqu’il entre en contact avec une blessure, pénètre dans l’organisme et soigne toutes les blessures en quelques secondes. De plus le sang absorbé reste dans l’organisme et accélère la production d’hémoglobine. Ainsi la personne ne risque pas de tomber en anémie.
Bankai: Son zanpakuto se transforme en chauve-souris géante d'environ 20 mètres d'envergure pour 6 mètres de long. Elle attaque ses ennemis avec ses crocs puissants et ses griffes. Pour survivre elle doit boire du sang. Le bankai est effectif tant qu'elle a sa dose de sang, 50 centilitres par minute exactement. Quand le bankai est utilisé, elle commence par boire 1 litre de sang à son possesseur. Si au bout de 2 minutes la chauve-souris n'a pas bu du sang de son adversaire, elle retourne vers son maître pour lui reprendre 1 litre de sang, et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il ne lui en reste plus.