Nom : Kuchiki.
Prénom : Byakuya.
Age : Comptons en siècles.
Sexe : Masculin.
Aspirations du personnage
Dans le chef de Byakuya, il serait assez inexact de mentionner quelqu'aspiration que ce soit sans se référer à un évènement qui a indéniablement marqué sa vie, le guidant dès lors sur une voie marquant la conjonction entre deux promesses ... Ledit évènement, pour le moins tragique, n'est autre que la perte de celle qu'il a aimée et continue à aimer, à savoir Hisana. Drame s'il en est, celui qui s'apparente à la mort de l'être cher ne fut pas sans conséquences pour le noble capitaine. En effet, feu son épouse formula une requête à son époux, alors que le trépas la guettait. En l'occurence, elle se livra à lui, se délestant ainsi d'un bien lourd fardeau, source de tourments perpétuels en son for intérieur : la défunte avait fait part à son mari de l'existence de sa soeur, Rukia. N'ayant pu que l'abandonner à son triste sort au beau milieu du Rukongai, Hisana avait bénéficié de l'amour et du bonheur procurés par l'héritier de la famille Kuchiki, tandis que la susmentionnée était livrée à elle-même dans ces quartiers de misère. De fait, rongée par des remords incessants, Hisana n'avait pas oublié sa soeur et demanda donc à Byakuya de l'adopter et d'en faire une Kuchiki, de la recueillir en sa demeure et de lui offrir le bonheur auquel Hisana n'aurait pas droit plus longtemps. Tel est le premier vecteur qualifiable d'aspirations dans le cas du capitaine de la 6ème division. Le second découle du premier, mais aussi et surtout de la nature profonde du clan des Kuchiki. En tant que membre de cette famille distinguée et de haut rang, Byakuya se doit d'être un modèle de vertu, un exemple permanent pour tout un chacun. Transgresser l'ordre établi et outrepasser les règles ne sied pas à l'adage des nobles. Pourtant, par deux fois, il s'est écarté de ce modèle de conduite qu'il est en toutes circonstances : en épousant Hisana et en recueillant Rukia. Mêler du sang pur avec celui des gens issus du Rukongai fut vu d'un mauvais oeil par les pontes gravitant autour de la famille, mais rien n'y fit. Etre fidèle à soi-même primait sur la fidélité à la tradition, du moins aux yeux du principal concerné. Quand bien même il devint le chef de la 28ème génération des Kuchiki, demeurèrent ces deux ombres au tableau. Il se promit également qu'il n'y aurait pas de troisième occurence. De fait, il se recueillit sur la tombe de ses géniteurs et leur fit le serment de porter haut le nom des siens, sans jamais défaillir ni manquer aux codes d'honneur faisant leur fierté. Voilà les lourdes charges que s'impose, par nature, le leader de l'une des plus illustres dynasties du Seireitei ...
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Description physique
Un seul terme pourrait prétendre à résumer ce que dégage Kuchiki Byakuya, au premier coup d'oeil : classe. Hautement distingué aussi bien par le rang que par l'apparence, le capitaine de division dispose d'attributs symbolisant sa condition d'homme de haut rang. A commencer par le Kenseikan, parure trouvant sa place dans son cuir chevelu. A l'avant de la crinière sombre de Byakuya, l'on trouve un genre de tunnel tripartite, divisant sa chevelure en autant de mèches retombant vers son front, bien que tanguant souvent au gré de sa démarche imposante. Sur le côté droit, peu au-dessus de son oreille, une autre forme de tuyaux, mais bipartite cette fois. Cet apparat n'est pas le seul à contribuer à l'unicité de celui qui appartient à l'aristocratie. Effectivement, le Ginpakukazaharu, coloré d'un magnifique vert pâle, est là pour rappeler à chacun que Kuchiki-dono n'est pas qu'un simple taishoo parmi les autres. Symbole de faste et de richesse, c'est le moins que l'on puisse dire au sujet de ce long foulard fait d'une soie exceptionnelle, étant donné qu'il vaut non moins de dix demeures luxueuses. On devrait sa fabrication à un certain Sandai Kyrourumon Fujishiro, pour l'anecdote. A la manière des mèches composant la devanture de la chevelure de Byakuya, ledit foulard tangue agréablement au rythme des pas de son détenteur, ce qui accentue l'impression de classe et de détachement qu'il dégage.
Du reste, à une échelle plus immédiate de la description physique de Byakuya, l'on peut noter qu'il dispose d'un visage dont les traits sont perpétuellement tirés. A croire que ses muscles zygomatiques ne lui sont d'aucune utilité. Son regard, constamment appuyé, laisse paraître deux iris teintés d'un gris légèrement bleuté. Quant à sa corpulence et sa carrure, l'on peut en dire qu'elles sont à la hauteur de sa prestance. Ce qui lui permet, entre autres, d'exceller dans tous les domaines et de disposer de capacités physiques transversales plus qu'appréciables. Comprenons par là qu'il n'est ni trop grand, ni trop petit. Ni trop musclé, ni trop maigre. Et ainsi de suite. Pour finir - et ce n'est nullement une surprise -, on le découvre la plupart du temps vêtu des habits propres aux taishoos, à savoir l'ensemble noir dévolu aux Shinigamis de tout rang, par-dessus lequel resplendit une longue veste blanche, frappée du sceau de la division à la tête de laquelle il figure : la sixième.
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Description morale
A proprement parler d'unicité et de distinction, de classe, ... C'est sans doute à ce niveau-ci que se fait la cassure entre Byakuya et le commun des personnages peuplant les shonens. ^^ Bien que disposant d'un passé pour le moins douloureux et propice à nombre de tortures, de maux, ... Il n'en laisse rien paraître et a la force, le courage de faire face à la chimère représentée par la disparition d'Hisana. Nul doute qu'il en est affecté, pourtant. Pour preuve, il tiendra sa promesse et continuera à la chérir, l'aimer, ... au-delà de la vie, alors qu'un homme de son rang aurait aisément pu trouver une autre compagne, verser dans l'oubli, ... Cette fidélité, doublée d'une permanence à soi hautement admirable, dépare sans doute avec les signes les plus manifestes du caractère de Byakuya, à savoir celui d'un homme froid, hautain, inaccessible, ... voire méprisant. Pourtant, sous ce qui n'est toutefois pas une façade trompeuse, l'on trouve la justesse et la pureté propres aux grands hommes. Une justesse qui le pousse à laisser tomber le masque, lorsque ceux qui faisaient l'objet de son mépris parviennent à détourner un temps soit peu son regard des sommets sur lesquels il se trouve perché. Une pureté qui le pousse à oeuvrer pour la justice, pour le bien commun et surtout, à accorder une importance primordiale aux engagements pris, aussi tacites soient-ils.
Par ailleurs, le Roku Ban Tai Taishoo est sujet à une profonde mélancolie, celle-là même qui l'accompagne en tout temps, en tout lieu, en toutes circonstances ... Le détachement et la froideur qu'il émet par nature en sont autant de branchements, tout comme ils en sont la source. Cette mélancolie peut s'expliquer par le caractère solitaire des ouailles de la noblesse, mais ce serait en limiter les origines. Byakuya n'est pas le genre d'homme à poursuivre une quelconque quête du bonheur, pas plus qu'il ne se laisse passivement emporter par les dérives du cours des choses, du temps, ... Peu enclin à adopter des référents tels que le destin ou le hasard, il n'en est pas moins porteur d'un sens des valeurs auquel il est totalement assujetti, y plaçant une foi totale, faisant de sa force de caractère un élément prépondérant dans son attitude, son comportement, ... Il détient ainsi la plus grande des forces, celle qui lui permet de ne pas ployer face au plus grand nombre. Il a bien assez foi en lui-même et en ses convictions profondes que pour ne pas verser dans le doute ni tergiverser en quelqu'occasion que ce soit. Ce qui le rend assez inébranlable et, par là même, impénétrable, pas même pour ses plus proches subalternes.
Enfin, pour en revenir au comportement de Byakuya, il est peu dire qu'il n'est aucunement loquace, encore moins avenant. Concis à souhait, il s'exprime tout autant - si ce n'est plus - par le biais de son regard et de son " aura " qu'au moyen de la parole. Son timbre de voix laisse entrevoir des bribes de ce qu'on apparente communément à du dédain, tant il est monocorde. Par ailleurs, ses propos ne manquent pas d'être aussi incisifs que cyniques lorsque les circonstances s'y prêtent. C'est une façon comme une autre de réaffirmer son rang et sa supériorité. Dans le même ordre d'idées, il attache une certaine importance au respect des codes d'usage, que ce soit dans son chef ou dans celui des autres. N'ayant pas l'habitude de faire l'objet d'appellations familières, il s'offusque lorsqu'on omet d'apposer un suffixe à son nom ou à son prénom. Ainsi est-il, attaché à la tradition et extrêmement ferme sans pour autant être pointilleux. L'exemple prime sur la perfection, qui est une visée avant tout. Une façon comme une autre de résumer sa conception des affaires courantes.
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Description du Zanpakutô
A n'en pas douter, Senbonzakura - Un millier de cerisiers - est la référence absolue en termes de Zanpakutô de type dispersion. Bien plus démonstratif que son détenteur, du moins sous ses formes libérées, cet instrument de " travail " présente une bien belle combinaison, rassemblant les deux polarités que sont l'attaque et la défense. Un peu à l'image de Byakuya, imperturbable de sérénité et que rien ne semble atteindre. Composé d'une garde rectangulaire subdivisée en quatre autres rectangles, son manche est entouré de tissus d'une couleur semblable à celle des iris de son propriétaire. Sa lame, enfin, n'est pas des plus longues, mais reluit d'un éclat digne du capitaine le plus distingué.
¤ Shikai : Il l'active en prononçant les termes " Chire, Senbonzakura ! ". Tenant le Zanpakutô à la perpendiculaire face à son visage, lame pointée vers le haut, il n'a plus qu'à admirer la maestria avec laquelle ladite lame se disperse en un millier de (sous-)lames invisibles à l'oeil nu, mais dont le reflet est si éblouissant qu'elles apparaissent telles des pétales de cerisier flottant à mi-hauteur. Elles n'en sont pas moins faites pour l'offensive, tant leur pouvoir est conséquent, leur permettant notamment de déchiqueter / pourfendre quiconque se dresse sur leur chemin.
¤ Bankai : Répondant au nom de Senbonzakura Kageyoshi - L'ombre de l'éclat de mille cerisiers -, il s'agit là, pour caricaturer, de la version XXL du Shikai de Byakuya. Concrètement, les " pétales " convergent en masse vers l'aristocrate et constituent un socle de défense impénétrable, tout en lui offrant la possibilité d'attaquer par vagues. Qu'elles soient éparses ou plutôt longilignes, peu importe, car Byakuya est à même de les diriger par le simple biais de la pensée. Ainsi protégé derrière un premier rempart teinté de la couleur des pétales de cerisier, il peut attaquer à distance. Chose qu'il peut faire encore plus vite et avec plus de précision, dès lors qu'il a recours à ses mains afin de diriger les mouvements des multitudes de lames composant le Senbonzakura initial.
Toutefois, ceci n'est encore que la forme " basique " de son Bankai, deux techniques y rattachées étant à sa disposition.
--> Le Senkei a pour effet de rassembler les lames sous la forme d'une multitude d'épées, lesquelles constitunt un dôme l'entourant, de même que son adversaire. Il lui est ainsi tout à fait loisible d'avoir recours à une ou à plusieurs des lames pures qui l'encerclent, mais fidèle à ses principes, il se contente de faire appel uniquement à l'une d'entre elles, les autres faisant en quelque sorte office de décorations imposantes.
--> Le Shuukei ~ Hakuteiken - Epée blanche impériale - est son attaque ultime, issue de la précédente. Grosso modo, les milliers d'épées se rassemblent et forment des espèces d'ailes lumineuses, scintillant dans le dos de Byakuya. Au même instant, il tient dans ses mains une lame qui condense toute l'énergie offensive de Senbonzakura. Cette technique est pour le moins éblouissante, aussi bien au plan de l'esthétique qu'au plan de l'efficacité. Sans doute est-elle à même de restituer toute la majesté du personnage.
A noter, tout de même, que Byakuya prône le caractère assez mythique du Bankai comme étant quelque chose qui lui tient à coeur et qu'il ne faut pas prendre à la légère. De fait, il ne dévoile le sien qu'en cas d'absolue nécessité et ceux qui ont eu l'honneur de le voir se dévoiler à leurs yeux ne sont malheureusement plus là pour attester de sa magnificence.
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Sujet: presentation de Byakuya Kuchiki 
