Présentation de Kuchiki Byakuya

Vous

Citation: Je n'en ais pas!
Âge : 16 ans
Lieu d'habitat : Toulouse
Statut : lycéen
Loisirs : ordinateur, jeux videos, mangas
Comment avez-vous connu le forum ? Je l'ai créé
Un avis sur le forum : Ce n'est pas à moi de donner l'avis^^


Le personnage

Prénom: Byakuya

Nom: Kuchiki

Age: Inconnu

Histoire: Un pétale rose vacillait au gré du vent, qui l’emportait à travers les rues de la soul society, monde d’âmes protectrices et de bienfaisance. Le pétale continuait son invisible chemin, serpentant entre les maisons, écoutant les murmures, comme des commentaires, que le vent lui faisait du paysage. Et puis le pétale s’arrêta, surpris. Un petit cris retentissait non loin, la curiosité le poussa à s’approcher, pour voir, pour comprendre, qui pouvait s’époumoner ainsi. Devant le pétale se dressa une immense demeure, habitation de la quatrième famille de noble, la maison Kuchiki. Les cris s’échappaient d’une large fenêtre et plusieurs voix autours s’élevaient. Le pétale ne put attendre plus longtemps, il fallait qu’il sache ce qu’était ce remue ménage ! Il entra par la fenêtre, et aperçut la plus improbable des choses, qui était pourtant la plus mignonne. Un nourrisson ! Un petit bébé gisait dans les bras d’une mère en sueur, pâle, mais au comble de la joie. Le pétale continua sa course et s’approcha du frêle être qui s’était maintenant endormi. Son visage arrondi, brillant et doux, l’attira et la pétale ne put résister à l’envie d’effleurait la joue du nouveau né. Superbe ! Si doux et chaud ! Le pétale ne put s’en échapper, c’était si bon, si calme, si reposant, si agréable. Le bébé ouvrit les yeux et le pétale redouta un pugilat, le nouveau né de devait pas apprécier qu’un végétal se permette de se dorloter sur sa joue. Mais aucun son ne sortit, les yeux, incroyable grand comparés au pétale, lorgnait cette petite chose fine et rose. Kuchiki Byakuya souria pour la première et rare fois. Le pétale fut séduit sur le champ, quelle magnificence chez ce jeune né ! Le pétale lâcha un murmure, que seul Byakuya pouvait discerner : « Petit homme, tu me plais beaucoup ! Et c’est pour ça que je te fais le serment de te protéger pour toujours, pour toi je serai ton bouclier, pour toi je serais ta lame, pour toi je serais toi ! ». Le pétale s’évapora en un sourire et les yeux du bébé pétillèrent. Tout le monde s’affaler, parlait, riait, autour du dernier descendant des Kuchiki, et personne ne semblait avoir remarquait le manège du petit pétale…tant mieux. Les années passèrent, Kuchiki devait avoir neuf ans, ce petit garçon était plein de vie, toujours souriant, il était toujours empêtré dans les bras de ses parents. Il admirait sa mère pour sa beauté, son sourire, sa douceur maternelle. Il admirait son père pour sa force, son humour, et ses responsabilités. Ce garçon plein de vie ne ratait jamais l’occasion de jouer dans l’immense jardin, magnifiquement décoré d’arbres, de petits étangs et d’autres tapes à l’œil. Son précepteur tentait tant bien que mal de lui enseigner quelques choses, mais le petit Byuakuya préférait défier son père aux échec chinois ou jouer au shinigami. Quelques années passèrent dans la plénitude du temps, il arriva à sa douzième année, année où il comprit qu’il fallait travailler et laisser les gamineries au passé. Il travailla dur, et son extraordinaire intelligence se révéla à la plus grande fierté de ses parents. Il adorait les livres, il passait ses journées plongé dans les pages généreusement garnies d’informations alléchantes qui emplissaient la gargantuesque bibliothèque de son domaine (sa superficie était comparable à celle de trois grandes maisons de petite bourgeoisie). Ainsi il devînt un puit de science et un excellent raisonneur. Tout était rose, aussi rose que le pétale que Byakuya avait oublié, sa naissance remontant à loin. Cependant nous connaissons le Kuchiki Byakuya d’aujourd’hui, un capitaine froid et associable. Comment un garçon, souriant par le bonheur quotidien, est-il devenu comme ça ? Tout s’explique à sa treizième année, année où il perd ses parents. Nous l’avons déjà dit, Byakuya admirait son père pour sa force et ces responsabilités, puisque ce chef de clan était reconnu comme un excellent shinigami et était même en proie à passer capitaine ! Titre suprême du combattant. Le père tissait cette ambition depuis très longtemps et les compliments qu’il attendait constamment sur sa personne lui montèrent à la tête. Il décida d’acquérir son titre de capitaine plus tôt que prévu, et engagea la cérémonie pour changer de capitaine. Comme chacun le sait, cette cérémonie était un combat à mort, le père Kuchiki avait bien l’intention de tuer son ennemi, capitaine de la sixième division, et de lui piquer sa place. Byakuya n’avait pas le droit d’y assister normalement, mais il ne l’entendait pas comme ça. Byakuya, faussa compagnie aux gardes postés devant sa chambre et à sa fenêtre, en empruntant un passage secret connu de lui seul, qu’il avait aménagé lui seul et qui conduisait dans la rue, à l’extérieur des rempart du domaine Kuchiki. Comment avait-il construit ce long passage à lui tout seul, sans que personne ne le sache ? Byakuya n’a jamais voulu le dire mais des suppositions existent, voici la plus plausible. Chaque soir Byakuya pouvait se réveiller, après avoir cassé le plancher avec un sort mineur (à douze ans et grâce à son père, il connaissait déjà une dizaine de sorts de destruction !). Puis continuant sur le même train, il détruisait la terre à coups de sorts et creusa ainsi un long tunnel, au fil des nuits. Ainsi notre intrépide noble échappa à la dure surveillance des gardes et arriva à l’endroit de la cérémonie, dans la grande cour d’honneur de la sixième division. Il se plaça sur un toit pour surplomber toute la scène et assister à la victoire de son père, car pour Byakuya, le père Kuchiki était invincible. Et justement le problème, c’est qu’il était seulement invincible dans les rêves de son fils, alors le père de Byakuya mourut, et rapidement. Le petit Kuchiki, devenu alors chef de clan par héritage, resta immobile sur son toit, le malheur l’accablait et de lentes larmes coulaient sur sa joue. Mais le malheur ne s’arrêta pas là, il était trop gourmand et décida de lui prendre aussi sa mère et de laisser le petit Byakuya orphelin. La mère mourut de chagrin. En rentrant le soir et après l’enterrement, le jeune garçon ténébreux trouva sur son lit un parchemin richement décoré, où à l’encre de chine était joliment écrit « Pour notre fils, en cas de décès ». Il déroula le parchemin qui lui expliquait que tout lui était cédé et qu’il était maintenant le chef. Merci bien mais il le savait, et il s’en foutait bien. Seulement les deux dernières lignes attirèrent son attention et restèrent gravées dans mémoire à tout jamais : « Fils, tu dois nous promettre de faire régner la justice et de faire respecter les décisions prises par la chambre des 46, prête serment. » Et il prêta serment. Merveilleux, dans son malheur il y avait l’esquisse d’une lumière de joie qui filtrait dans les ténèbres. Une mission posthume lui était confiée par ses parents ! Jamais il ne briserait le serment, oh non ! Les années passèrent et Byakuya n’était plus le garçon que l’on connu.

Il avait 23 ans et était dans la cour d’honneur de la sixième division, devant l’assassin de son père, le katana dégainé. Ce fut bref, encore plus bref que ne mourut son père. Le capitaine de la sixième mourut bien vite, les milliers de lames de Byakuya déchirèrent son ennemi. Il devînt capitaine, et suivait le chemin des honneurs, dommage que ses parents ne soient pas en vies, ils auraient été fiers. Il arriva à l’anniversaire de la mort de ses parents et s’aperçut qu’il n’avait pas souri depuis dix ans, qu’importe, il servait la justice et voilà tout, son serment tenait toujours debout ! Alors que le froid capitaine ne croyait ne plus jamais sourire, il rencontra Hisana, femme pauvre du Rukongai, dont il tomba amoureux au premier regard. C’était étrange il n’avait jamais été amoureux, ce qu’il ressentait, il le ressentait pour la première fois et c’était pour tout avouer, bien agréable. Il l’a demanda à mariage, et la belle ne put résister aux charmes ravageurs du capitaine de la sixième division. Le mariage fut perçut comme une véritable honte au sein de la famille Kuchiki, comment pouvait-on salir le sang sacré de la lignée avec une bouseuse ?! C’était impardonnable ! Mais Byakuya s’en foutait et fit comprendre que tous ceux qui n’étaient pas contents mourraient. Le mariage fut alors célébré dans la joie et la bonne humeur. Les années passèrent aux côtés d’Hisana et il avait recommencé à sourire, d’un sourire resplendissant, il était à l’apogée da la joie et rien ne pouvait l’en défaire, il protégeait et aimait Hisana, il ne voulait que rien ne lui arrive et qu’ils restent ensembles pour toujours. Mais Byakuya était bien malchanceux, la maladie s’accrocha à sa femme et quand on l’eut découvert, il était trop tard il ne restait que quelques impalpables jours à Hisana. Elle mourut dans les bras de son mari lui faisant jurer de promettre, de prêter serment, de se mettre corps et âmes à la recherche et à la protection de sa petite sœur qu’elle avait abandonné dans sa jeunesse dans les quartiers miteux du Rukongai. Il la retrouva alors, son portrait craché, Byakuya eut un choc quand il vit cette jeune académicienne se présenter à lui. Il lui proposa de porter l’illustre nom de Kuchiki, cette dernière accepta en croyant comprendre qu’elle se voyait offerte cette faveur car elle ressemblait à sa défunte femme. Ainsi il la protégea, allant même jusqu’à interdire à Ukitake Jyuushiro l’a nommé officier et de ne l’affecter qu’aux missions faciles sur Karakura. Tout se passait bien, pour le mieux.

Suite:

Un papillon de l’enfer vînt un jour l’embêter dans son bureau, il tendit son doigt et celui-ci délivra son message. « Capitaine Kuchiki, la chambre des 46 a découvert que Kuchiki Rukia avait transgressé une règle, en donna la totalité de ses pouvoirs de shinigami à un humain. Vous et votre lieutenant avez été choisis pour allez chercher la criminelle. » La criminelle ? Comment sa belle sœur pouvait-elle être une criminelle ? Elle qui était aussi douce que Hisana. Il aurait empêché cette arrestation, ainsi il aurait tenu parole à sa sœur, seulement…la parole qu’il avait faite à ses parents d’obéir à la chambre des 46 se voyait brisée ! Et puis arrêter Rukia pouvait la protéger, être sans pouvoirs et entourée de hollows…ce n’est pas l’idéal pour rester en vie. Deux heures plus tard, Bakuya franchissait, accompagné de Renji, le portail qui menait au monde des humains. Deux silhouettes restaient plantées dans le ciel noir de Karakura, sous la lumière faible des lampadaires qui laissait voir indistinctement les contours de leurs corps, pour ceux qui pouvaient voir les âmes bien entendu. Byakuya restait impassible et ses yeux scrutaient les rues, le léger vent soulevait son écharpe douce qui lui caressait alors le visage. Pendant que Byakuya était de marbre, Renji avait sorti un portable et ouvrit le clapet. Quelques secondes passèrent dans les murmures d’une nuit silencieuse puis un son suraigu sonna gaiement, Kuchiki Rukia était localisée. « Capitaine, j’ai loc… » ; « Allons-y Renji. ». Les deux hommes marchèrent dans les airs, lentement, se rapprochant du point lumineux qui sillonnait les rues du plan du portable du Renji. Byakuya ne regardait même pas, il lui suffisait de sentir, et de trouver. Bien qu’il ne le montrait pas, que son visage était bloqué sur son célèbre air impassible, il s’inquiétait de ce qu’il sentait. Certes, il avait bien reconnu Rukia, mais son énergie…était si faible…Il s’en demander même comment elle pouvait vivre. Pourtant la jeune Kuchiki cavalait superbement dans les rues, s’essoufflant à peine, son gigai l’empêchait de convenablement se déplaçait mais elle s’y était habituée à la longue. Regardant la lune elle s’arrêta tout net, sur un lampadaire étaient suspendus Kuchiki Byakuya son frère et Renji son meilleur ami. Renji lui formula une salutation narquoise et son frère ne dit rien, il la regardait, sans cligner des yeux, il semblait qu’il la jugeait et qu’il la trouvait indigne d’appartenir à la noble famille des Kuchiki. Mais ce n’était pas du tout cela. Il avait peur, pour elle. Renji sauta et lui démontra par un coup d’épée au sol, qu’il l’amènerait par la force, si elle refusait d’obtempérer. C’est alors qu’il apparut, avec une épée énorme, soutenue par son épaule, et une chevelure bien étrange, d’un orange vif. Il se présenta, Kurosaki Ichigo, jamais entendu parlé. Byakuya fut tout de suite qu’il était à l’origine des problèmes de Rukia, qu’il se baladait avec les pouvoirs de sa belle-sœur. Il ne semblait que ce shinigami, s’il méritait qu’on l’appelle ainsi, ne voulait pas voir partir sa tendre ami. Renji et Ichigo se battirent, le pauvre shinigami aux cheveux orange ne connaissait même pas le shikai et Renji eut vite fait de prendre de l’avance. Cependant il ne se laissa pas faire, et armé d’une bonne volonté, il reprit l’avantage ! Impossible ! Byakuya voyait un lieutenant, son lieutenant, échouer devant un amateur ! Cela suffisait, Byakuya intervînt, d’autant plus qu’il était préssé. Dans un éclair, sans que personne ne puisse entrevoir une ombre ou une silhouette, il coupa l’énorme Zanpakuto d’Ichigo et il fit une belle entaille dans le ventre. Le sang gerba fantastiquement et le pauvre shinigami roux tomba au sol, incapable de bouger, se vidant de son sang. Il le laissa pour mort, il ouvrit un portail qui reconduisait à la soul society et le franchit, accompagné de Renji et cette fois ci de Rukia.

Sa belle sœur attendait patiemment sa sentence à prison désormais, et son meilleur ami venait lui rendre visite, pour la taquinait, lui dire qu’elle aurait peut-être la tête coupé ! Il plaisantait bien sûr, mais il ne savait pas que c’était de mauvais goût car Kuchiki poussa la porte qui coulissa sous ses doigts. « La chambre des 46 a annoncé son verdict, tu seras exécutée dans quelques jours, la date n’est pas encore spécifiée, mais ne saurait tarder.» La porte se ferma aussi sec, et Kuchiki Byakuya resta de marbre, mais que c’était dur, il avait appris la nouvelle deux heures avant et n’avait plus sut que fait, devait-il obéir aveuglément à la chambre des 46 ? Devait-il protéger sa belle sœur ? Le choix avait été difficile, bien qu’il ne le montrait pas, il l’estimait beaucoup. Elle était la personne, de vivante, qui avait la plus grande place dans son cœur. Cœur qui était tiraillé par un choix terrible, inhumain. Il choisit d’obéir à ses parents, et vient sur la tombe de sa défunte femme à qui il demanda excuse durant une heure entière. Pourquoi ce choix là ? Byakuya ne le savait pas vraiment, le moins embêtant sûrement… Les journées passèrent et les raconter demanderait la rédaction d’un roman entier, il nous faut juste savoir ceci, des intrus se baladaient dans la soul society, avec l’incohérent espoir de libérer Rukia. Byakuya avait fait son choix, il n’y reviendrait plus, il devait les exterminait et faire en sorte que Rukia soit exécutée en temps voulu. Plus la date approchait, plus Byakuya se tenait sur ses gardes, il vérifiait constamment la tour blanche, où un collier rouge autour du coup, Rukia attendait paisiblement et à la fois anxieusement, son exécution. Le terrible jour arriva, un cortège traînait Rukia, le visage fermé, les yeux résignés. Elle fut placée, en croix, sur l’édifice de la mort, qui surplombait merveilleusement la soul society. Le Zanpakuto invincible fut lâché, et la lame s’embrasse d’une puissance égale à celle d’un millier de Zanpakuto. Un phénix, superbe, se matérialisa et chargea Rukia. Byakuya regardait la scène avec son visage éternellement fermé. Pourtant il souffrait, il avait l’impression de revivre la mort de sa femme. Et puis, la surprise ! Kurosaki Ichigo ! Il venait d’arrêter le Zanpakuto invincible ! Ukitake Jyuushiro et Kyoraku Shunsui détruisirent le phénix grâce à un sceau spécial. Mais Byakuya avait choisit de poursuivre le serment fait à ses parents, il se devait de récupérer Rukia qui filait au loin…dans les bras de son lieutenant venu aider l’ennemi ! Ichigo empêchait quiconque de le poursuivre, tant mieux, Byakuya avait un compte à régler avec lui, avec ce prétentieux. Il l’affronta durant une longue et éprouvante heure, les deux hommes sortirent le bankai et Ichigo triompha, inextrémiste. Byakuya expliqua les raisons qui le poussaient à sacrifier Rukia et Ichigo lui expliqua les vrais valeurs, et Byakuya lui en fut inconsciemment reconnaissant, car grâce à lui, grâce à son échec, il avait respecté les deux serments.





Caractéristiques physiques: La décoration qu'il porte dans ses cheveux s'appelle « Kenseikaan ». C'est un accessoire seulement utilisé par les nobles. Il s'accroche en faisant passer les cheveux par les tubes qui donnent sa forme. Le foulard accroché à son cou a été transmis de génération en génération par les Kuchiki. Il s'appelle « Ginpakukazaharu », et fut fabriqué par Kyrourumon Fujishiro " Le Troisième ". Ce foulard est tellement précieux qu'il permettrait de fabriquer 10 maisons. Il mesure 1.80 m pour 64 kg, son corps est donc mince mais musclé. De magnifiques cheveux noirs, luisants, encadrent son doux visage pointu qui ne déplaît pas aux femmes. Ses yeux sont aussi noirs que l’est sa chevelure, lui donna un air ténébreux et mystérieux très séduisant. Le manteau de capitaine l’entoure prestement, rajoutant à sa magnificence déjà naturelle, un sorte de perfection de la classe.

Caractère moral: Il est difficile de cerner Kuchiki Byakuya, puisqu’il est très peu ouvert, il préfère méditer et réfléchir, parler l’indispose. Son visage est constamment fermé et sa voix grave tonne nerveusement quand il répond. Byakuya est un homme d’honneur qui respecte chque parole prononcée, il ne ment jamais, et sa vie est totalement consacrée à la protection de la soul society.

Shikai: "Chire !" (Dispersion !)
C'est grâce au Shikai du Zanpakuto que l'on comprend d'ou vient son nom. En prononçant le mot "Chire !", l'épée disparait et l'ont voit alors des milliers de minuscules lames flotter autour de Bykakuya. Lorsqu'elles reflette la lumière on dirait voir des pétales de cerisier. Mais ces "pétales" sont plus dangereuses que ça, car cette attaque peut littéralement déchirer un adversaire sans que ce dernier sans aperçoive.

Bankai: Senbonzakura Kageyoshi! ("L'ombre de l'éclat de mille cerisiers!")
Le Bankai de Senbonzakura est un peu la version "beaucoup plus grande" du Shikai. Byakuya laisse tomber son Zanpakuto et ce dernier s'enfonce dans le sol. Peu après, deux rangées d'enormes lames apparaissent derrière lui.
Le capitaine utilise alors le même mot "Chire !" pour disperser les lames qui sont alors par millions. La victime ne peut alors que regarder la brise passer devant ses yeux en attendant sa mort, car il est impossible d'esquiver cette attaque. Mais Byakuya peut également concentrer ces pétales sous forme de lames terriblement tranchantes qui encerclent l'ennemi tandis que l'une d'elle se matérialise dans sa main. Ce Bankai possède enfin une forme finale, le "Hakuteiken" (épée impériale blanche). En utilisant cette forme, une aura blanche se forme autour de Byakuya et le rend extrêmement puissant.

hummm chui pas sur de donner mon OK pour toi petit byakuya .... tu fait énormément de fautes ... ta sintaxe et mauvaise ... et l'histoire bien trop courte .... je crois qu'on va devoir te demandé de quitté ce forum

Zetsumei....Je vais être obligé de te faire goûter mon Senbonzakura Kageyoshi!

approche et moi je te ferai mordre la poussière avec mon Taibu shihai genshuku .... Juuyousei manquait justement de pratique .... tu seras une cible parfaite !

Oui mais je passerai pour un bien mauvais fondateur si j'assassinais mes membres...hum...puisque je suis infiniment bon ( ), je te laisse la vie!

tu as simplement peur de Taibu shihai genshuku parce que tu ne connais pas encore toutes ses habilitées .... peureux va ......

byakuya vs zetsumei en hrp .... bankai débloqué + terrain choisi par moi .... t'aura aucunes chances !

Ah mais je ne dis pas le contraire! Une surprise est vite arrivée Mais je ne laisserai pas gagner et tu devras te défendre.

Hé, je viens de me rendre compte...on flood...

comme si cela était important ... nous sommes admins ! XD bon je commence le sujet ?

Si tu veux