Citation: On dit que la future copine d’Ichigo le tromperas avec des individus qui seront plusieurs, voir nombreux !
Loisirs : plein de choses dont l’enumeration serait….
Vous desirez tellement connaitre ma vie , alors en voici un résumé.
Je suis né dans Idletown, une petite ville au sud de Chicago, aux états unis d ‘Amérique.
Toute mon enfance, on m’a raconté que ma mère était morte en me mettant au monde, j’ai donc été élevé par mon père.
C’était un type bien, j’ai jamais vraiment eu le dialogue résultant d’une relation père fils, il ne m’a jamais pris dans ses bras.
Non, ce que m’apporta mon père, ce fut des dons de quincy !
Imaginez-vous, vous avez 8 ans, un type qui ne vous ressemble pas d’une mèche de cheveux vous héberge et nourris prétendant être votre père, vous ne le voyez que le soir, lorsqu’il vous donne des cours vous interdisant de vous rendre à l’école.
Un soir, il vous attrape par le col, vous emmène dans la brume, une immense bestiole vous gueule dessus puis tente de vous bouffer, l’homme tend le bras, un arc de lumière bleue se matérialise trois flèches en sortent allant s’écraser sur le monstre, le faisant disparaître du même coup.
Voilà comment j’ai grandit jusqu’à l’age de 15 ans, dans l’éducation strict et austère d’un Quincy ne me parlant qu’à grand coups de flèches dans la face de ce qu’il me décrit comme Hollow, haïssant ces types, les shinigamis.
Jusqu’à 15 ans.
A 15 ans, on déménagea pour New-York, ou il avait apparemment un « collègue de travail » qui l’attendait.
On resta trois ans à vivre dans un appartement du 25 eme étage de Madden Street. Une nuit, je rentrait dans un taxi, une mallette posée sur la banquette arrière.
Cette histoire me rappelle de vieux films de gangster quand j’y repense.
J’ouvris la mallette, elle débordait littéralement d’un ton vert représentant artistiquement les présidents d’Amerique.
Comme possédé, je m’empara du magot, et sortit du taxi à peine arrivé, une voiture qui nous suivaient depuis un moment s’arrêta un moment.
5 Hommes sortirent, armés de fusil mitrailleurs.
Je bondit dans sa maison a travers la fenêtre, roula dans le salon voyant mon père se précipiter, ouvrant la porte.
Une salve de balle vint alors perforer le corps du Quincy.
J’ai jamais vraiment sut ce qui me passa par la tête ce jour la… Mon bras fut comme enflammé, je sentis la tension monter en moi, mes yeux sortie de leurs orbites.
Les types entrèrent en même temps dans la maisons, dégageant à grands coups de pied les meubles et débris.
Une dizaine de flèches vint alors réduire leurs corps à un état quasi-liquide.
Je pu vivre ainsi, subvenant à mes besoins pendant une année entière, jusqu’à ma rencontre avec un type étrange…encore.
Le mec qui jouait de l’orgue ou un truc dans le genre à l’église était lui aussi Quincy, un afro-americain aveugle qui pouvait pourtant toucher un cible que je ne pouvais même pas apercevoir.
On peut dire que ce type représentait tout ce que je haïssait, le mec intègre, religieux prétendant pouvoir pardonner n’importe quoi à n’importe qui…Ce type…Je ne pouvais cependant pas m’empêcher de le respecter.
Mais il faut croire que je suis maudit, en tout cas ceux qui me cottoient le sont.
Une nuit, un étrange hollow apparut, je ne put jamais réellement le voir mais quelque chose devait être étrange en lui, car le musicien ne me laissa pas approcher.
-Va…Vasto lorde !- Spoiler:
Ces mots résonnèrent dans ma tête, battants aussi vite que mon cœur.
Es Vasto lordes…Mon père m’en avait parlé, permis eux se trouvent les plus puissants hollows.
Celui-ci semblait blessé, lorsqu’il nous aperçut, un immense sourire sadique s’empara de son visage blanc.
Le musicien sortit une croix de sa veste noire.
Tout ce que je détestais en lui venait de resurgir, cette bonté qui était également sa plus grande faiblesse.
-Imbécile, Dieu ne peut rien pour toi !-Mello, calme-toi.
Sache que je ne connais personne, aucun de mes amis de l’église ne croit en l’existence de Dieu !-Quoi ?-Moi-même je n’y crois pas.
Simplement, les hommes ont besoin de règles et de principes pour vivre en paix.
Croire en Dieu permet de respecter ces principes de vie, et de les imposer à ceux qui les troubles.
J’espère qu’un jour tu le comprendras Mello.Il tendit la main en avant, une formidable explosion venait me saisir aux tripes, je n’aurais su dire à ce moment si je pesait 5 ou 100 kilos.
Mes genoux frappèrent violemment le sol, je sombrais dans l’inconscience.
Des voix résonnaient dans le loin.
-Aizen-sama, il nous à échapper…Il est blessé.
Celui-ci est il vraiment indispensable ?
Bien, oui j’ai tué le Quincy…Comment ceux-ci peuvent ils se cacher au sereitei ?…Bien aizen-sama.Quand mes yeux se rouvrirent, le musicien était mort, transpercé au centre de son corps.
Aujourd’hui, je me rend à Karukera, ville d’ou venait sa mère, d’après ce qu’on put lui dire.
Le train traversant le japon était comme un film faisant défiler les décors mélangés à mes souvenirs, apparitions de mon passé, presemption de mon futur.
Les gens montaient puis descendaient, un mélange de parfums flottait dans le wagon.
Le soleil se couchait, le wagon se vidait.
Je descendit du train à la nuit tombé dans le quartier résidentiel de la ville.
: Mello est un jeune homme illustrant parfaitement son age.
Il ne fait pas preuve d’une grande force physique, mais reste malgré tout d’une rapidité et d’une agilité inégalée. Il a de longs cheveux blonds lui arrivant sur les épaules, il porte toujours un grand manteau noir à capuche.
: Mello est quelqu’un de très ouvert et assez sympathique, mais également d’un potentiel intellectuel supérieur à la normal, un potentiel qu’il utilise pleinement.
Lorsque le quincy reprend son sérieux, se penchant sur les sujets les plus tendus, quelque chose d’effrayant émane de lui.
Mello possède un artefact composé de deux cubes, écartés, ces deux cubes restent liés par un lien enflammé pouvant grandir proportionnellement à l’énergie spirituelle du porteur, enlaçant la cible, lui infligeant des dégâts si elle essaye de se libérer.
Lorsqu’il sent monter en lui la colère, Mello concentre une importante quantité d’énergie dans ses tirs, lui permettant de relâcher plusieurs dizaines de flèche d’un seul coup, dans une formidable explosion.
Mello se concentre sur une de ses flèches, celle-ci prend alors une teinte rougeâtre.
Le quincy peut alors contrôler ces mouvement et la faire exploser sans qu’elle ne rencontre le moindre obstacle.
Plus l’intensité des sentiments du lanceur est importante, plus la flèche peut traverser d’obstacle sans exploser.